La rencontre de quatre destins croisés qui vont finir par s'apprivoiser, se connaître, s'aimer, vivre sous le même toit.
Camille fait des ménages le soir dans les bureaux et dessine avec grâce à ses heures perdues. Philibert est un jeune aristocrate féru d'histoire, timide, émotif et solitaire, il occupe un grand appartement que possède sa famille. Franck est cuisinier, viril et tendre, il aime infiniment sa grand-mère, Paulette, une vieille dame fragile et drôle.
Leurs doutes, leurs chagrins, c'est ensemble qu'ils vont apprendre à les adoucir, pour avancer, réaliser leurs rêves. Ils vont se découvrir et comprendre qu'ensemble, on est plus fort. Site officiel: http://www.ensemblecesttout-lefilm.com/site.html http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=109636.html
Voici la bande annonce du film qu'on va projeter mercredi prochain (le 19), à 19h00. A l'école des langues.
Synopsis
Lorsque
la guerre surgit au creux de l'été 1914, elle surprend et emporte dans
son tourbillon des millions d'hommes. Nikolaus Sprink, prodigieux ténor
à l'opéra de Berlin, va devoir renoncer à sa belle carrière et surtout
à celle qu'il aime : Anna Sörensen, soprane et partenaire de chant.
Le prêtre anglican Palmer s'est porté volontaire pour suivre Jonathan,
son jeune aide à l'église. Ils quittent leur Ecosse, l'un comme soldat,
l'autre comme brancardier.
Le lieutenant Audebert a dû laisser sa femme enceinte et alitée pour
aller combattre l'ennemi. Mais depuis, les Allemands occupent la petite
ville du Nord où la jeune épouse a probablement accouché à présent.
Et puis arrive Noël, avec sa neige et son cortège de cadeaux des
familles et des Etats majors. Mais la surprise ne viendra pas des colis
généreux qui jonchent les tranchées françaises, écossaises et
allemandes...
1943. Ils n'avaient encore jamais foulé le sol français, mais parce que c'est la guerre, Saïd, Abdelkader, Messaoud et Yassir vont s'engager comme 130 000 autres "Indigènes" dans l'armée française pour libérer "la mère patrie" de l'ennemi nazi. Ces héros que l'histoire a oubliés vaincront en Italie, en Provence, et dans les Vosges, avant de se retrouver seuls à défendre un village alsacien contre un bataillon allemand.
Vous.... vous avez un nez... heu... un nez... très grand.
CYRANO, gravement Très.
LE VICOMTE, riant Ha !
CYRANO, imperturbable C'est tout ?...
LE VICOMTE Mais...
CYRANO Ah ! non ! c'est un peu court, jeune homme ! On pouvait dire... Oh ! Dieu !... bien des choses en somme... En variant le ton, - par exemple, tenez Agressif : « Moi, monsieur, si j' un tel nez, Il faudrait sur-le-champ que je me l' ! » Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! » Descriptif : « C'est un roc !... c'est un pic !... c'est un cap ! Que dis-je, c'est un cap ?... C'est une péninsule ! » Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ? D'écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? » Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux Que paternellement vous vous De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? » Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez, La vapeur du tabac vous sort-elle du nez Sans qu'un voisin ne au feu de cheminée ? » Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! » Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol De peur que sa couleur au soleil ne se ! » Pédant : « L'animal seul, monsieur, qu'Aristophane Appelle Hippocampéléphantocamélos Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d'os ! » [...] Dramatique : « C'est la Mer Rouge quand il ! » Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! » Lyrique : « Est-ce une conque ? Êtes-vous un triton ? » Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? » [...] Militaire : « Pointez contre cavalerie ! » Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ? Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! » Enfin parodiant Pyrame en un sanglot : « Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître A détruit l'harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m' Si vous un peu de lettres et d'esprit Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres, Vous n'en jamais un atome, et de lettres Vous n'avez que les trois qui forment le mot : sot !